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Comme une impression que les meilleurs albums de Sadness sont ceux avec des arbres sur la pochette (je ne me suis jamais remis de l'interlude au piano de Wounded Solitude). La production sur Rain est très claire sauf pour la voix de Damián Antón Ojeda qui surgit par bourrasques, un peu comme celles qui arrivent pendant les périodes de pluies. Les instruments sont tous accompagnés d'une réverbération du plus bel effet. Rain est une libation et une inondation en même temps. Juste si émouvant... Jordan Vauvert
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After listening to Ysyry Mollvün, listening to Downfall of Nur was urgent and turned out to be one of the best decisions I have made in quite some time: Umbras de Barbagia is simply magisterial; the atmosphere can hardly be compared to anything else. There is a deep, palpable connection to nature imbueing each very fibre of this record. The amalgamation of black metal and folk elements is done with a high intuition for detail and class, resulting in a highly immersive experience. Wonderful. David Fischer
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Imber Luminis et Eyelessight sont probablement des âmes-sœurs car il est rare (et encore plus rare quand ça concerne le DSBM) de tomber sur une improvisation aussi aboutie que dans As the sun in your eyes. La synergie — on dirait qu'elle est déjà sous-entendue dans le titre : le soleil pour Déhà, les yeux pour le duo italien — est phénoménale, surtout entre Déhà et Kjiel qui font subir par leurs cris une torture mentale traumatisante. La production rend le tout irrespirable. Craché, tel quel. Jordan Vauvert